[001.]Il a grandi dans une famille de racistes, anti-mutants, très stricte là dessus. Une famille de White supremacist quoi.. [002.] Il a toujours voulu se barrer, mais sans argent, c’était pas facile.  [003.]Son père est haut placé dans une usine de fabrication d’arme à feu, quand à sa mère, elle y est secrétaire. [004.] Il a un frère et une soeur. [005.] Ses parents les ont emmené se faire dépister dès que cela fut possible, évidemment, Arthur était au courant pour ses pouvoir, mais il n’a pas eu d’autre choix que de le faire. En rentrant, il a pris quelques affaires et ses barrés de chez ses parents. [006.] Il était SDF jusqu’à il y a approximativement six mois. [007.] avant sa fugue, il voulait devenir médecin, clairement, c’est plus d'actualité. [008.] Aujourd’hui, il prend ce qui vient espérant survivre pour voir un nouveau jour. Il a pas vraiment grandi dans l’état le plus tolérant du pays.. [009.] Il est puceau, il faut dire que le moindre contact avec quelqu’un, et il voit leurs mort, y’a pas mieux comme tue l’amour. Le contact humain lui manque un peu. [010.] Il ne sait pas vraiment si un jour il réussira à contrôler son pouvoir, mais c’est pas comme s’il pouvait s'entraîner..

DÉCRIVEZ L'APPARITION DE VOTRE DON ET LA FAÇON DONT VOUS LE MAÎTRISEZ.

PENSEZ-VOUS QUE LE GOUVERNEMENT PROTÉGE SUFFISAMMENT LES TRANSMUTANTS ?

[ GE] 19 ans. [PAYS OU FUSEAU HORAIRE] France [OU AS TU CONNU LE FORUM] j’ai connu the hunted y’a longtemps, et puis vu qu’ils retente, je me dit que l’intégration sera peut-être plus simple ici, et mes soeurs m’ont ramené.. [PERSONNAGE] inventé[AVIS SUR LE FORUM] il est cool, et beau! [UN DERNIER MOT] supercalifragilisticexpialidocious!

Austin, Texas, le 24 septembre 1997. Pas grand chose à déclarer, si ce n’est la naissance d’Arthur Gildead. En gros, pas un truc très important pour qui que ce soit d’autre que lui, et sa famille. Ses parents voulaient la famille américaine parfaite. Chrétiens, raciste, homophobes, et anti-mutants. Pro arme bien entendu. Pour un certain nombre, ce serait la famille parfaite. Pour Arthur, c’était l’enfer. Il a eu une éducation un peu plus poussée, qui ne s’arrêtait pas à “Dieu à raison, les noirs c’est le mal, et coucher avec des gens du même sexe que toi est un péché”. Bon, c’est pas à l’école chrétienne qu’il fréquentait qu’on lui a appris ça. Heureusement, il sortait, et parlait facilement aux gens, il a beaucoup lu aussi, et il avait accès à internet. Donc bon, il était très différent de sa famille, et aller à l'Église le dimanche, c’était carrément un calvers pour lui.

Tout ça s’est compliqué quand il a commencé à se rendre compte que les filles ne l'intéressait pas. Il s’est bien gardé de le dire à ses parents, bien entendu. Il n’avait pas envie d’avoir un sermon de la part de ses parents, et qu’ils lui sortent qu’ils allaient l’envoyer dans un établissement pour le soigner. Les seuls qui sont au courant, c’est les quelques garçons qu’il a embrassé à l’abris des regards au collège, ou au parc où il traînait avec certains de ses amis. Heureusement pour lui, à l’époque, il n’était plus dans un collège chrétien, parce qu’en l’espace de deux ans il s’est fait viré de deux établissements, ses parents l’ont mis dans un collège public, pas loin de chez eux comme “une punition”. Enfin, lui ça l’arangeait. Il s’est fait bien plus d’amis là-bas que dans ses anciennes écoles. Beaucoup moins d'intolérants, que ce soit chez les élèves, ou les profs.

Et parce que rien ne va jamais bien, il a aussi découvert qu’il était mutant. En plein match de football. Il avait 16 ans lorsqu’il a eu sa première vision. La mort d’un de ses adversaire. Il a paniqué, et il s’est enfui du stade, il a ensuite prétexté avoir eu une crise d’angoisse. Au début, il ne comprenait pas ce qui lui arrivait, c’était flippant. A force que cela se produise, il a finit par faire face à la réalité. Les grands méchants mutants dont on parlé à la télé, ou à table, il en faisait parti. Il a quitté l’équipe de foot, s’est éloigné de ses amis, et s’est mis à porter des gants en toute saison pour éviter quelque contact que ce soit. Ce nouveau “style” n’a pas vraiment plus à ses parents, mais ils ont appris à faire avec. Du moins, pendant un temps, avant que le dépistage ne devienne obligatoire.

Ce foutu dépistage, ses parents étaient fiers d’y aller, pour prouver à tous leur quartier Ô combien leur petite famille était parfaite. C’était il y a presque un an. Arthur y est passé fin novembre. Il se sont retrouvé avec un fils mutant. Le retour du centre de dépistage fut un enfer pour Arthur. Son père gueulait contre lui. Comme s’il avait choisit d’être un mutant. Une fois rentrés, il fut strict sur une chose, dès le lendemain, il se ferait vacciner. Il a attendu que tout le monde dorme, il a fait ses affaires, enfin, il a pris le nécessaire, ses papiers, quelques fringues, un peu d’argent trouvé dans le sac de sa mère, et il a laissé un mot.  “Hors de question que je me fasse vacciner. Je suis mutant, et breaking-news, je suis gay! Et rien de tout ça n’est un péché, ou quelques conneries que vous pourriez dire. Bye.” Et sur ce, il parti de la maison, pendant un temps il logea chez un pote, mais ça n’a pas duré bien longtemps, surtout quand les flics ont commencé à le rechercher, et son père à même engagé un détective privé. Du coup, il est parti plus loin. Certains jours il mendiait, il s’est baladé dans différents états jusqu’à arriver à Boston il y a quatre mois.

Trois jours après être arrivé en ville, le patron d’un bar le trouva en train de faire les poubelles du restaurant d’à côté. Au lieu de le chasser, il l’a invité à manger un vrai repas. Plus fou encore, il lui a filé de l’argent pour se payer une chambre au motel du coin. Alors oui, la chambre ne coûtait pas cher, c’était sale, mais, c’est largement mieux qu’une bouche d'égout. Et il a pu y prendre une douche, et putain ce que ça faisait du bien. Il est retourné voir l’homme qui l’a aidé, et lui a annoncé qu’il cherchait un serveur, il a de suite accepté. Surpris de trouver quelqu’un d’aussi sympas. Il lui a même trouvé un endroit où dormir. Il a demandé à un de ses amis, Wyatt, s’il y avait de la place dans son appart. Ils étaient déjà quatre en colocation dedans, donc aucune chambre de libre, mais le canapé à fait l’affaire, jusqu’à ce que l’un des garçons de la coloc parte laissant derrière lui juste un petit mot. Du coup maintenant, Arthur à une chambre, un boulot, et il se fait plutôt bien à la vie qu’il a. Loin de celle qu’il aurait voulu, mais on prend ce qu’on peut, n’est-ce pas?