[001.] beaucoup plus vieille que ton apparence physique, tu es comme piégée dans un corps trop jeune. ce n'est seulement qu’aujourd’hui, que tu te rends compte de l'enfer de ta mutation. de tout ce qu'elle va te coûter au fils des années à venir. [002.] tu ne peux vivre sans café, et ce depuis plusieurs années, lorsque tu as porté une gorgée de cette boisson chaude à tes lèvres pour la première fois.[003.] tes enfants sont toutes ta vie, bien qu'ils ne viennent pas de ton ventre. tu les a adoptés suite à plusieurs fausses couches, avant d'avoir noah, décédé à l'âge de deux ans. [004.] ton défunt mari était l'amour de ta vie, tu possèdes toujours plusieurs photographies de lui, dont une le jour de votre mariage sur ta table de nuit. [005.] quelques fois, tu voudrais être une simple humaine, sans mutation. tu fais souvent des rêves de la sorte, où tu te vois vieille avec tes futurs petits-enfants. [006.] est fan des dessins animés disney depuis le premier sortit, et utilisait tes filles pour les regarder tout le temps. [007.] possède toujours sa chevelure naturelle, sans jamais en changer la couleur depuis sa naissance. [008.] tu es tombée amoureuse quelques fois avant de rencontrer ton mari. il t'a épousé malgré ta mutation, chose que tu n'oublies pas, surtout avec les enfants grandissants qui paraissent plus âgés que toi. [009.] on ne peut le nier, mais tout devient plus compliqué avec l'âge des enfants. tu sembles moins âgée d'eux, chose que te poses quelques problèmes d'autorité quelques fois. [010.] tic, manie, truc à savoir sur ton personnage.

DÉCRIVEZ L'APPARITION DE VOTRE DON ET LA FAÇON DONT VOUS LE MAÎTRISEZ.

PENSEZ-VOUS QUE LE GOUVERNEMENT PROTÉGE SUFFISAMMENT LES TRANSMUTANTS ?

[ÂGE] dix-neuf petites années. [PAYS OU FUSEAU HORAIRE] la france. [OU AS TU CONNU LE FORUM] grâce à bazzart. [PERSONNAGE] totalement inventé. [AVIS SUR LE FORUM]      [UN DERNIER MOT] je vous n'aime déjà.

[mai, mille neuf cent vingt] la guerre, terminée depuis deux ans, a apportée mort et désolation sur son passage. elle ne pensait plus pouvoir avoir d'enfants, ta génitrice, après plusieurs fausses-couches, et pourtant. en ce jour de mai, le vingt-deuxième, tu es venue au monde. tu étais un petit miracle, première d'une fratrie de trois enfants, venues en quatre années de mariage. c'est dans la maison familiale que tu as poussé ton premier cri, dans la chambre conjugale de tes géniteurs. ces derniers ont organisés une fête pour ta venue au monde, avec toutes les personnes importantes de londres à cette époque, maintenant lointaine.[décembre, mille neuf cent vingt-neuf] tu était âgée de neuf années, et tu étais surement la plus heureuse en voyant le ventre de ta génitrice s'arrondir au fils des mois. tes frères, eu, s'en fichaient, ils préféraient jouer dans le jardin de la grande demeure familiale plutôt que de s'occuper de leur mère enceinte. en ce jour de décembre, la veille de noel, ta génitrice est en plein travail. toi, tu reste dans le salon avec tes frères et ton père, attendant que le médecin vienne annoncer la bonne nouvelle. sauf qu'il n'y avait pas de bonne nouvelle. elle est morte en couche, ainsi que ta petite-soeur. sans que tu ne puisses les retenir, des larmes coulent sur tes joues. tu ne réalises pas, mais à partir de maintenant, il ne reste que vous quatre. [février, mille neuf cent quarante-deux] tu étais seule avec tes frères, ton paternel ayant été appelé pour combattre. alors que les sirènes d'alarme retentissent dans la capitale anglaise, tu te retrouves dans la cave de la demeure familiale, attendant que ça passe. mais l'un de tes frangins manque à l'appel. tu sors, courant jusque dans la rue pour essayer de le retrouver. tu cris, l'appelant, et puis plus rien. une bombe touche l'un des bâtiments à tes côtés, tu te retrouves sous des gravas. tu étais censée mourir. tu es restée plusieurs heures sans bouger, avant que quelqu'un ne vienne t'aider. tes blessures se sont guéries seules, c'est dès lors que tu as compris que quelque chose n'était pas normal, que tu n'étais pas comme les autres. [mai, mille neuf cent quarante-cinq] l'allemagne  a été vaincue. l'armistice vient d'être signé. la guerre est terminée, pour de bon cette fois. on ne peut le nier, tu es heureuse à l'idée de voir ton pays en paix, de voir ton paternel revenir à la maison. à la fin du mois, lorsque ce dernier revient dans la capitale londonienne, tu es partie, sans rien dire. tu as fuit le pays, de peur qu'on découvre ton don. déjà, plusieurs personnes se sont demandés pourquoi tu n'étais pas décédée des suite de tes blessures. tu as alors décidé de fuir, pour aller dans le sud de la france, dans un premier temps, te créant un passé où tes géniteurs seraient tout deux décédés au cours de la guerre. [décembre, mille neuf cent quatre-vingt-sept] tu avais l'habitude des soirées mondaines. il faut dire que tu viens d'une famille assez fortunée, argent que tu as reçu à ta majorité, juste avant ta fuite. tu as voyagé, beaucoup, mais tu es revenue en france pour la nouvelle année. il y a foule dans la salle, les femmes avec leurs belles robes et les hommes en costume. c'est là que ton regard est tombé sur lui, un jeune homme de dix-huit ans. tu en est tombée amoureuse dès le premier regard. vous avez passés la nuit à parler, de tout et de rien, avant de vous séparer au matin. et puis, tout est aller très vite. il t'as demandé ta main plusieurs mois après votre rencontre. tu as accepté, folle amoureuse. tes beaux-parents, eux, n'étaient pas du même avis, mais ont dû accepter en voyant leur fils amoureux de cette jeune fille qu'ils ne connaissaient pas. [juillet, mille neuf cent quatre-vingt-huit] tout est aller si vite, trop vite peut-être ? mais tu l'aimais, plus que tout. c'est en plein mois d'été que vous êtes devenus mari et femme. la cérémonie c'est faite à l'église, tes beaux-parents restant très pieux. de plus, tu sais que tes parents auraient voulu que ton mariage se déroule dans une église. tu portais une robe blanche, dans le style du début du siècle, comme ta génitrice le jour de son propre-mariage peu avant la grande-guerre. charles, tu lui as menti plusieurs mois avant de lui avouer ta mutation, puis il t'a avoué la sienne. tu étais soulagée, de savoir qu'il voulait bien passer le reste de sa vie avec malgré le fait que tu resterais à l'âge de vingt-deux ans pour toujours. [mars, mille neuf centre quatre-vingt-quinze] vous avez eu deux enfants, du moins, vous avez adoptés deux garçons suite à plusieurs fausses couches. au début de la décennie, tu es allée avec charles en grèce pour adopter alessio puis acacio une année après. tu pensais ne pas pouvoir enfanter, jusqu'au moment où tu es tombée enceinte de noah. ce dernier venait de naître au moment où vous comptiez déménager aux états-unis, pour le travail de ton mari. tu comptes tenir la promesse faite à tes enfants, de revenir en grèce dès qu'ils le peuvent. après tout, ils ne viennent pas de toi mais tu les aime comme ta propre progéniture. [juin, mille neuf cent quatre-vingt-dix-sept] mort de noah. [décembre, mille neuf cente quatre-vingt-dix-neuf] adoption des jumelles. [deux milles neuf] le magazine.