| | so far from seeing home / sal | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: so far from seeing home / sal Dim 5 Nov - 13:47 | |
| salvador demaggio ------------------------------------------------ J'en ai trop fait. J'ai mon trophée. | People are powerful beings. ------------------------------------------------ [nom] demaggio, c’est longtemps que c’est foutu. c’est plus un cheval de course depuis longtemps. c’est bon à bouffer des rats, à visiter l’abattoir. c’est aussi beau qu'un cheval qui se claque, au galop. c’est tout pourri donc. pourtant, à voir, ça fait belle vitrine. ça donne envie de creuser, de défendre sans rien n’y comprendre. faudrait-il qu’il comprenne salvador, qu’il est foutu, fourbu. qu'il est marqué à l’encre rouge, gangrené. on lui a collé le mauvais patch, le mauvais nom. [prénom] salvador, hernán. l’obligé. obligé de faire la promotion d’un pays qu’il ne connaît pas. à l’orthographe hésitante, à la syntaxe désoeuvrée. salvador pour faire plaisir à son père, hernàn pour sa mère. pour ce qu’il en dit, lui. c’est pas une toison d’or qu’on lui a cousue derrière le dos, c’est un tissu de poignards. [âge] quarante-huit, c’est trop. beaucoup trop d’années de faux-semblants. beaucoup trop d’années à croire qu’il était le fils de l’année. le père de l’année. alors qu’il était bon dernier. c’est trop beaucoup trop, trop de ‘pas grave’ trop de ‘tant pis’ trop de sourires mal faits. il ne va pas mal quand il est mal, mais sa joie peine à s’incliner. il peine, peine à prendre les bonnes décisions. pour lui, pour les autres surtout. [date de naissance] le trente août. [lieu de naissance] santa fe (nouveau-mexique). [nationalité et origines] il est bien américain salvador, même si on lui pose souvent la question. même si on trouve souvent un lien de corrélation entre son teint mat et son job. mais il est né sur le continent, du bon côté du rio grande. il a jamais mis les pieds de l’autre côté, bien que ses deux parents soient originaires de bogota (colombie). [emploi] il a son petit commerce, qui se porte comme un charme. revendeur d’armes, c’est pas très honorable mais c’est très lucratif. mieux, ça lui permet d’étendre son réseau, de rencontrer de nouveaux hunters. d’avoir les informations avant tout le monde. salvador, il ne vit pas pour son boulot, il vit pour la traque. salvador, il a pris la relève de son père à seulement quinze ans. parce qu’un demaggio, ça finit pas marchand de glaces ou agent d’entretien. [statut civil] veuf, il pouvait s’en réjouir. sûrement, peut-être. parce que ça n’était pas l’amour fou. du moins au début. il en a fait le reproche plusieurs fois, à ses parents, prétextant que c’était dégueulasse. qu’il la toucherait jamais quand bien même il l'emmènerait jusqu’à l’autel. c’était pas un mariage pour eux. ça avait été décidé trois ans auparavant, par sa propre mère. et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il a foiré son coup. elle, elle est tombée en cloque au bout de trois mois seulement. et il a été heureux, oui, pendant un bon nombre d'années. mais maintenant elle est morte. tuée par ceux qu’il déteste le plus au monde. tuée par ceux à qui on accorde une immunité grotesque. salvador il a jamais affiché sa détresse, il a fêté sa mort conformément à ce qu’elle souhaitait. perdu et résolument seul. [orientation sexuelle] hétérosexuel convaincu et catholique. ça laisse peu de couleurs sur le reste du tableau mais salvador, ça ne l’a jamais intéressé. [dépistage] l'absence totale du génome X. à croire qu'il est pas le père de ses deux gamins. [groupe] protecting those who fear them, la longue escalade façon cuba 1962. il peut pas faire marche arrière, il peut plus. cette merde lui a trop pris pour qu'il puisse pardonner. [avatar] pedro pascal. [crédits] jeff. --------------------------------------- il y avait peut-être déjà des crevasses qui lézardaient les murs de la maison demaggio. mais il n’y a jamais fait attention. peut-être que ses enfants le détestaient avant. qu’il n’y a pas de mélancolie flash-back à avoir. que si son café semble fuir sa tasse, c’est bien parce qu’il a tout foiré. c’était caché mais c’était là. peut-être que le monde allait déjà mal avant de découvrir l’existence des transmutants. que ça n’a été qu’une confirmation, une révélation du malaise dans lequel il se débattait. sal, il a jamais pu trouver un sens au monde, il n’y a jamais trouvé sa place. comme si tout avait déjà commencé à s’écrouler à force de mensonges, d’hypocrisies, de lâchetés et de trahisons. il a essayé, vainement, de tout contrôler. l’inexplicable. aujourd’hui il a abandonné, il a cessé de raisonner les choses, de donner un sens aux trucs qui n’en n’ont pas. de trouver refuge en dieu. il est amer, amer d’avoir échoué à ce point. de tuer pour s’accomplir, indifférent quant au sort de ses victimes. il est son vrai faux jumeaux en contrechamp. alors, sal, il fait ce qu’il peut. pour retenir, pour repousser, pour entrevoir quelque chose de salvateur. il casse plus qu’il aimerait pouvoir réparer. il détruit, détériore. - il transforme tout ce qu’il touche, non pas en or, mais en traînée de poudre. il ne s’est jamais défini comme quelqu’un de bien, sal. parce qu’il considère que personne ne l’est. il avait seulement peur de tout perdre. et maintenant, maintenant il ne lui reste plus rien que sa haine.
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[001.] tic, manie, truc à savoir sur ton personnage. [002.] tic, manie, truc à savoir sur ton personnage. [003.] tic, manie, truc à savoir sur ton personnage. [004.] tic, manie, truc à savoir sur ton personnage. [005.] tic, manie, truc à savoir sur ton personnage. [006.] tic, manie, truc à savoir sur ton personnage. [007.] tic, manie, truc à savoir sur ton personnage. [008.] tic, manie, truc à savoir sur ton personnage. [009.] tic, manie, truc à savoir sur ton personnage. [010.] tic, manie, truc à savoir sur ton personnage. QUE PENSEZ-VOUS DES TRANSMUTANTS ? je vois difficilement en quoi ça pourrait être une chance. c’est humain de tirer vers le bas ceux qui s’élèvent. c’est pas de la xénophobie à la mords-moi-le-nœud pour autant. c’est comme ça, c’est tout. ils sont malades, ils devraient tous se faire vacciner mais au lieu de ça non, on endosse le rôle du méchant pour le bien de la société. on les bute. je les bute. je ne m’intéresse plus, je fais ce qu’on m’a appris sans réfléchir. ça rend la tâche plus aisée. c’est plus facile de vider un chargeur sur quelqu’un qu’on ne considère pas comme son semblable. d’agir sans compassion et sans pitié. c’est ce qu’on apprend à la guerre. se détacher. j’ai appliqué ça, longtemps, et puis j’ai appris que cesare en était. puis sa sœur après lui. c’est comme être nazi et juif, ça n’a plus aucun foutu sens. j’ai aucun foutu sens. PENSEZ-VOUS QUE LE GOUVERNEMENT PROTÈGE LES HUMAINS DES TRANSMUTANTS ? l’histoire dessert la cause, l’histoire demande. l’histoire a fait les barricades et les guillotines. l’histoire a fait les hommes en tranchant des têtes. l’histoire ne garde que la crème de la crème mais elle préfère les génies aux bourreaux. et je n’suis pas un génie. le gouvernement a pas les couilles de faire ce qui doit être fait. ça sert à quoi de dépister un danger potentiel si on ne peut pas agir contre? ça sert à quoi de les laisser repartir calmement chez eux comme si de rien n’était? c’est les mêmes qu’on retrouve à incendier tout un centre commercial- mais pas fait exprès hein? c’est une putain de blague. ils font que dalle le gouvernement, c’est un écran de fumée. comme si ces petits cons savaient pas falsifier un document officiel. tu parles d’une protection. jeffreys + sam ------------------------------------------------ [ÂGE] vingt-cinq. [PAYS OU FUSEAU HORAIRE] frankreich ftw. [OU AS TU CONNU LE FORUM] sur bazzou comme 99% de la population mondiale. [PERSONNAGE] j'pense limite qu'on pourrait appeler ça un scénario. [AVIS SUR LE FORUM] il est croque-love. (ça veut rien dire putain) [UN DERNIER MOT] je mets les céréales avant le lait.
Dernière édition par Salvador DeMaggio le Dim 5 Nov - 21:26, édité 4 fois |
| | | | Sujet: Re: so far from seeing home / sal Dim 5 Nov - 13:47 | |
| STORIES ARE WHERE MEMORIES GO WHEN THEY'RE FORGOTTEN ------------------------------------------------ citation ici, ce que vous voulez, blabla, pas trop long quand même, sur une ligne, c'est bien. world so coldil n’y croyait pas, c’était flagrant, flagrant de voir jusqu’à quel point il pouvait me repousser. je voulais qu’il m’apprenne à moi aussi, parce que ça avait l’air cool. parce que j’étais un peu jaloux de voir toute l’attention qu’il ne m’accordait pas; et celle qu’il accordait à l’enfant chéri qu’était mon frère aîné. c’était pas, affectif, c’était même pas un sourire complice. c’était ni plus ni moins que des coups et des encouragements. et puis ils partaient à la nuit tombée pour ne revenir qu’au petit matin- sans un mot. ça m’a donné envie, comme à un gamin devant son premier film d’horreur. j’ai appris à lire sur les bouquins de papa. je connaissais l’histoire par cœur. je savais parfaitement tirer, aussi. faut dire que c’était pas difficile de trouver les flingues entre les lattes de la chambre d’amis. c’était pas difficile de s’faire une place sur la banquette arrière cette nuit-là, caché sous une vieille couverture. mais j’me suis fait griller et c’est tout naturellement qu’on m’a demandé de surveiller la voiture en me mettant la radio. comme à un gosse. deux connards. mais j’ai pas moufté parce que papa, il était déjà furieux de m’avoir dans ses pattes et que j’allais en entendre parler du petit-déjeuner au dîner pendant trois mois minimum. je suis resté là, emmitouflé dans ma couverture à écouter le déroulement d’un match de baseball vieux d’une semaine. sauf que le programme a déroulé jusqu’à épuisement de la batterie. j’me suis dit que ça allait poser un gros problème alors, j’ai quitté ma tour d’ivoire et embarqué ma lampe torche. prudent mais excité à l’idée de les surprendre. sauf c’est lui qui m’a surpris le premier. parce qu’avec le bruit de la radio j’avais loupé cette lente et doucereuse agonie. pas sûr qu’il ait souffert longtemps dans cette boucherie; pas sûr d’avoir aperçu l’entièreté de son corps non plus. j’ai détourné la tête très vite pour courir, affolé. je voulais pas qu’il puisse arriver la même chose à papa. je voulais trouver un poste de garde vite. je voulais tout un tas de trucs mais j’me suis juste enfermé dans la voiture sous ma couverture pour pleurer comme le gosse que j’étais, mortifié. pendant une heure, j’ai pas bougé. et puis j’ai trouvé papa, gisant dans son propre sang, le corps raidi mais vivant. j’suis pas tombé sur ce connard de transmutant cette nuit-là, mais fallait qu’il saigne, au moins comme mon frère. last man standingau début, je cherchais son approbation. je cherchais. je le cherchais. la fuite est venue plus tard, parce qu’un fils devrait pas avoir à torcher son père. pour peu qu’il ait été un père pour moi. papa, il cherchait mon prénom. il avait un trou dans la tête. j’pensais enfin obtenir ce quelque chose qu’il me refusait mais ce type était désespérément vide. papa, il continuait à me considérer comme de la merde quand bien même je gérais ses affaires. il avait ses crises auxquelles je m'accommodais, j’ai donné. donné. donné. donné. épuisé. donné. donné. sans jamais rien recevoir. je l’ai foutu dehors, en dehors de sa propre maison. j’ai inversé les rôles parce que j’attendais plus rien. et il est mort, papa, comme un pauvre clochard sous un pont, par ma faute. il s’est laissé mourir de froid, et maman m’a fait la tronche pendant des mois. juste pour que j’épouse cette pauvre fille. parce que je lui devais au moins ça. parce que c’était ce qu’il voulait. même mort, il continuait à me dire quoi faire. putain de merde. for blue skies« j’suis désolé » c’est ce que je lui ai dit. la première fois, les premiers mots échangés. parce que j’ai pas pour vocation de remplacer les morts. encore une belle connerie. je voulais me venger mais finalement, ça a été le seul vrai cadeau qu’on m’ait fait. le seul qu’on puisse me faire. ironiquement, j’ai gardé le rôle du remplaçant, du deuxième homme malgré moi. je l’ai regardé pleurer nue juste à côté de moi. « je comprends plus rien. » c’était pas un caprice, c’était de vraies larmes comme j’en avais jamais vues. j’ai hoché la tête, épuisé. « moi non plus mais, ça va aller. » je crois que c’est ce qu’on dit. personne ne s’amuse à dire quelque chose comme ‘c’est que le début des emmerdes’. mais c’est ce que c’était. le début. des emmerdes. on fait juste semblant, d’être endormis. trois mois plus tard, elle était déjà enceinte à me faire faire vingt kilomètres pour des fraises à la con. j’ai fait comme si c’était une bonne nouvelle, j’ai fêté ça sans allégresse parce que ça me foutait les jetons. parce qu’un gosse ne devrait pas élever un autre gosse. même si j’peux le porter sur mes épaules, c’est qu’un détail. même si je l’aime déjà ce gosse, c'est qu’un détail. c’est marrant, cette sensation d’accomplir quelque chose. cette sensation de toute puissance qui s’échappe. c’est ce que j’ai ressenti, quand il s’est pointé cesare. j’étais plus désolé, j’étais là, résolu à faire de mon mieux pour lui procurer la meilleure éducation possible. mais l’enfer lui-même est pavé de bonnes intentions alors, faut croire que ça n’a pas fait de moi le père de l’année. que j’ai échoué. but see how deep the bullet liesc’était trop beau de pouvoir compter sur lui. de supprimer ce groupe, rien qu’à nous deux. il avait toute ma confiance cesare, parce qu’il savait exactement quoi faire. c’était pas la première fois. ça ne devait pas être la dernière. c’était facile. il était trop préparé pour foutre en l’air ce que j’avais prévu pour lui; quel gâchis. je pensais qu’il aurait fait le bon choix mais il s’est fait retourner le cerveau en quelques semaines à peine; c’était décevant. pire, c’était blessant. j’aurais dû l’appeler brutus, pas cesare. parce que c’était rattrapable, mais il a décidé de me la mettre à l’envers quand même, comme ça, pour sa tarée de copine. il a dit non mais c’était trop dommageable. c’était trop grave pour faire semblant. pour remettre à demain ce qu’on pouvait faire tout de suite alors j’ai improvisé, une demi-vérité. c’était pas une petite rébellion adolescente, c’est exactement là que je l’ai perdu. en endossant le rôle du méchant plutôt que celui du lâche. je lui ai parlé de sa sœur, aria. comment c’était possible? je voulais qu’il soit, juste comme moi. pas ceux que je m’évertue à traquer. ça devait pas me poser un problème de conscience. mais ça c’était que dalle. le vrai problème c’était aria. parce que ce putain de vaccin était pas au point. ils lui ont fait n’importe quoi comme si c’était n’importe qui. et moi j’suis resté devant cette porte à attendre, sans rien faire, alors qu’elle pleurait. c’était trop tard. c’était plus ma fille, c’était plus qu’une coquille vide. mais ça fonctionnait, enfin, alors qu’est-ce que ça pouvait bien faire? qu’est-ce que ça fait de sacrifier ses propres enfants pour le bien commun? ça fait se sentir merdique. merdique et satisfait. satisfait que cesare fasse enfin le job. déçu qu’on en vienne à instaurer un no man’s land. taste of bloodla mort c’est facile. le plus dur c’est de rester, de s’adapter. et il semblait si heureux, il l’était sûrement, parce qu’il empestait le bonheur à cinq kilomètres. parce que miami n’est pas une destination qu’on choisit au hasard. ça fait plaisir à toute la petite famille, sauf que c’était pas important. il allait quand même mourir aujourd’hui, il allait partir en laissant les restes. trois fois rien c’est suffisant pour pleurer à un enterrement. ça sera probablement triste. triste de le retrouver les viscères à l’air après l’heure du petit-déjeuner. c’était ça ou le brûler vif à l’essence. mais j’suis pas un connard sans principe, je lui offre quand même une mort décente. c’était pas prévu mais j’ai trouvé ça honorable et incroyablement naïf qu’il me supplie pour la vie de sa fille. la plupart se font dessus, et c’est tout. la plupart ne font que ramasser pour d’autres, et quoi? s’ils se géraient eux-mêmes, j’aurais pas à faire le ménage. mais ça reste des transmutants, qui en a encore quelque chose à foutre du sort des transmutants? ils font de beaux discours à la télévision mais j’suis pas obligé d’écouter ce qu’on m’dit. je peux tout à fait éteindre cette télévision et continuer ce que j’ai à faire. casser, briser, tuer s’il le faut. protéger surtout. the price of love
Dernière édition par Salvador DeMaggio le Mar 7 Nov - 2:11, édité 10 fois |
| | | | Sujet: Re: so far from seeing home / sal Dim 5 Nov - 13:55 | |
| moi aussi je met les céréales avant le lait Bienvenuuue ! Bonne chance pour ta fiche! Si tu as des questions, tu connais la chanson ! |
| | | Cesare DeMaggio Admin + master of the evolution. Messages : 960
Inscrit(e) le : 29/09/2017
Points : 4276
Avatar : bob morley, l'bogoss².
âge du perso : vingt-neuf ans.
Emploi : il est flic depuis quelques semaines maintenant; c'est pas le savoir qui lui manque, au contraire, il est déjà vu comme très bon - trop bon. mais encore aujourd'hui, cesare n'sait pas si c'est la voie qui a vraiment du sens pour lui.
| Sujet: Re: so far from seeing home / sal Dim 5 Nov - 14:54 | |
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| | | Ange Le Cerf member + join the evolution. Messages : 349
Inscrit(e) le : 30/10/2017
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Avatar : Jaco Van Den Hoven
âge du perso : 22 ans.
Emploi : Propriétaire et gérant d'un hôtel.
| Sujet: Re: so far from seeing home / sal Dim 5 Nov - 14:57 | |
| Bienvenue parmi nous ! Ce pouvoir de la moustache ! Il me tarde d'en lire plus, ce perso' est trop cool ! (Oui, j'aime les hunters, chacun ses défauts ! ) |
| | | Wyatt Quinn member + join the evolution. Messages : 551
Inscrit(e) le : 28/10/2017
Points : 3505
Avatar : cole sprouse
âge du perso : vingt et un ans
Emploi : escort boy et étudiant en animation et illustration au MassArt
| Sujet: Re: so far from seeing home / sal Dim 5 Nov - 16:54 | |
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| | | Calista Wolstenholme Admin + master of the evolution. Messages : 374
Inscrit(e) le : 16/10/2017
Points : 1807
Avatar : emily bett rickards.
âge du perso : ving-neuf ans.
Emploi : elle vient de monter son entreprise spécialisée en nouvelles technologies, nanotechnologies, bio-technologies et informatique.
| Sujet: Re: so far from seeing home / sal Dim 5 Nov - 18:21 | |
| - Salvador DeMaggio a écrit:
- [UN DERNIER MOT] je mets les céréales avant le lait.
C'est ce qu'il faut faire je comprends pas les gens qui font l'inverse je t'aime pas quand même enfin plus en tronche Isolde, mais là n'est pas la question BIENVENUUUUUE Bonne chance pour ta fiche, si tu as des questions, n'hésite pas et je réponds aussi à ton mp soon |
| | | Gabriela Rivera member + join the evolution. Messages : 86
Inscrit(e) le : 05/11/2017
Points : 501
Avatar : Gal Gadot
âge du perso : 32 ans
Emploi : Psychiatre de formation, elle est actuellement sans emploi, trop obnubilée par ses désirs de vengeance pour s'inquiéter de son travail.
| Sujet: Re: so far from seeing home / sal Dim 5 Nov - 18:36 | |
| Ma Clara te déteste et ma Gabriela t'aime pas non plus ... Mais t'es beau quand même avec cette tête faut être honnête Et puis Welcome, bon courage pour ta fiche espèce de vieux machin, au plaisir de te détester en RP |
| | | Oliver Wolstenholme member + join the evolution. Messages : 60
Inscrit(e) le : 28/10/2017
Points : 514
Avatar : dylan o'brien
âge du perso : vingt-six ans
| Sujet: Re: so far from seeing home / sal Dim 5 Nov - 21:08 | |
| Pedroooo Bienvenue parmis nous |
| | | | Sujet: Re: so far from seeing home / sal Dim 5 Nov - 21:50 | |
| merci mika. cesare, j'espère, j'attends ton mp pour continuer ma fiche. j'espère que je vais pas écrire trop trop de merdes et que ça ira, fils indigne. (mais les chiens ne font pas des chats, après tout ) oh mais tu sais, j'me retiens pas pour les questions. ange, jpp de ton pseudo. il est fab à mort. je t'en dessinerai une un jour si tu veux, de moustache. (passe du côté obscur mon enfant ) merci wyatt chou. calista, j'ai jamais compris la logique non plus. j'pensais que c'était une légende alors un jour j'ai demandé. et sur dix on était que deux à faire comme ça. j'sais que tu m'aimes quand même, mais on va faire semblant que non. bah oui, vous me faites attendre t'sais. gabi, non mais toi tu n'aimes personne ou c'est comment? j'suis beau mais tu m'aimes pas. ma vie n'a plus d'importance. au plaisir aussi! (non) merci caleb. |
| | | | Sujet: Re: so far from seeing home / sal | |
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| | | | so far from seeing home / sal | |
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